Le verdict qui a condamné mercredi Antoine Deltour et Raphaël Halet est paradoxal. Dès les premières lignes, il reconnaît qu’ils sont bien des lanceurs d’alerte, au service de l’intérêt général.
Le verdict qui a condamné mercredi Antoine Deltour et Raphaël Halet est paradoxal. Dès les premières lignes, il reconnaît qu’ils sont bien des lanceurs d’alerte, au service de l’intérêt général.