Renaud Piarroux, spécialiste des maladies infectieuses et professeur de Parasitologie à l’hôpital de la Timone (Marseille), mondialement reconnu pour son expertise du choléra, a révélé que les casques bleus népalais
Renaud Piarroux, spécialiste des maladies infectieuses et professeur de Parasitologie à l’hôpital de la Timone (Marseille), mondialement reconnu pour son expertise du choléra, a révélé que les casques bleus népalais
6 ans après le départ de l’épidémie de choléra déclenchée par la négligence de l’ONU en 2010 en Haïti, et qui a pu perdurer parce que l’ONU a tout fait
Renaud Piarroux, spécialiste des maladies infectieuses et professeur de Parasitologie à l’hôpital de la Timone (Marseille), mondialement reconnu pour son expertise du choléra, a révélé que les casques bleus népalais envoyés en Haïti
C’est assez rare pour être souligné, le Pr Renaud Piarroux, épidémiologiste mondialement reconnu, spécialiste du choléra, à l’origine des révélations sur la responsabilité de l’ONU dans le déclenchement en 2010
Plusieurs experts dénoncent la stratégie vaccinale mise en œuvre après l’ouragan Matthew. Très médiatique, mais peu efficace, selon eux. C’est la campagne de vaccination la plus vaste jamais lancée en
Mardi 25 octobre, un expert a qualifié de « désastre » le silence de l’organisation internationale dans l’épidémie de 2010. #PhilipAlston, le rapporteur indépendant de l’#ONU sur les questions d’extrême pauvreté et
Editeur : Cornell University Press (2016) In October 2010, nine months after the massive earthquake that devastated Haiti, a second disaster began to unfold―soon to become the world’s largest cholera epidemic
Après la reconnaissance par le porte parole du secrétaire général Ban Ki-Moon d’une responsabilité de l’ONU dans l’origine de l’épidémie de choléra en Haïti démarrée en octobre 2010, le Pr
Lorsqu’il se rend à Haïti, en novembre 2010, où vient de se déclarer la pire épidémie de choléra des dernières décennies au niveau mondial, sur une île qui n’en a jamais
Six ans après le début d’une épidémie qui a tué au moins 10.000 personnes et touché 800.000 autres, l’ONU a enfin admis qu’elle avait joué un rôle dans le déclenchement de